Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (46)

À l’heure prévue nous sortons.
Le capitaine est encore là qui nous attend.
Il nous a guidés afin d’éviter de nous perdre dans les coursives.
Revenus dans le salon, les cinq hommes sont assis dans des fauteuils placés en rond.
Ils parlent entre eux dans leur langue.
Au centre a été placé un tapis persan exceptionnel.
Sur la plage arrière du yacht une table est servie.
Nous attendons, hors du cercle des clients assis dans les fauteuils.
Nous voyons arriver trois hommes en Jean et Marcel blancs.
Les trois sont très musclés.
Celui qui doit être leur leader s’approche et me dit à l’oreille en français.

• Vous êtes déjà venu sur ce yacht pour une soirée avec ces messiers en robe blanche.
• Non, jamais.
• Je suis déjà venu deux fois. Je m’appelle Boris. Le grand blond Yvan le beau noir Adonis.
La soirée se déroule toujours sur le même modèle.
Ces hommes ne sont là que pour nous regarder.
C’est nous qui allons-nous occuper de vous sur le tapis.
Quand ils se seront assez rincé l’œil, leur grand manitou se lèvera et ils partiront vers leurs appartements.
Nous pourrons profiter du buffet sans eux entre nous.

Une musique d’ambiance démarre.
Des projecteurs éclairent avec plus de luminosité le centre du rond entre les fauteuils.

• Vous verrez tout le temps où nous serons là, nous ne verrons aucun personnel.
Quel est ton nom ?
• Valérie, les deux jumelles s’appellent Arum et sa sœur, c’est Ayu.
Vous pourrez les reconnaître car Ayu à une ombre de naissance sur la joue et légèrement plus frêles que sa sœur.

Une musique plus entraînante est diffusée.

• Qu’est-ce que tes deux filles acceptent ?
• Aucun tabou, même entre sœurs.
• C’est très bon, tu as gâté nos clients en venant avec tes petites. On va les faire commencer toutes les deux, ils vont aimer.
Nous allons aller vers le buffet et un à un nous entrerons dans le rond de lumière.



J’appelle les petites et je leur explique ce que Boris souhaite qu’elle fasse.
Elle pige et en se prenant la main, elles avancent sur le tapis.
Elles simulent une promenade et subitement s’arrêtent.
Nous-nous déplaçons vers le buffet et nous prenons un rafraîchissement.
Face à face, les sœurs se regardent et se prennent la bouche.
Elles repartent, s’arrêtent, leurs vêtements s’envolent un à un, mais comme si elles avaient fait du strip-tease à vitesse assez lente pour que chaque partie qu’elles découvrent soit très visible des clients.

Quelles sont belles nues !

Les clients regardent sans aucun mouvement, seuls leurs yeux sont expressifs, ils sont fascinés, mais certains continuent à parler entre eux.
Les petites s’allongent sur le tapis et elles commencent la danse de leurs corps.
Arum est dessous et Ayu se love sur sa sœur comme elles le font fréquemment dans mes transats ou à l’institut.
Mes filles se sont relevées et comme si elles jouaient entre, elles courent en rond sur le tapis pour que l’une d’elles tombe au sol la chatte entièrement tournée vers les fauteuils.
Inversion après cette chute et Arum tel un serpent rampe, pour sa proie, fait de même.
Cette façon de se lover à l’air de faire de l’effet aux mateurs, car leurs conversations se multiplient.
Elles finissent, leurs contorsions leur visage contre leurs chattes. Elles écartent les cuisses et se lèchent les vagins.
Après quelques minutes de ce traitement, la jouissance les prend simultanément.
Comme je suis placée, je vois principalement la tête d’Arum et le sexe d’Ayu.
Arum dégage sa main. Elle introduit trois doigts dans le vagin de sa sœur.
Les escortes boys sont fascinées, Boris s’est placé derrière moi et me tenant par une épaule vient frotter son sexe sur mes fesses.
Ils bandent.
Je sens sa verge fièrement dressée, s’insinuer dans ma raie.
Je regarde ses copains, ils sont dans le même état, leurs pantalons sont tendus au maximum.

Je me déplace légèrement pour mieux voir les petites, la verge me suit.
Je regarde les deux filles. Ayu a aussi déplacé sa main et cinq doigts sont fichés dans le con d’Arum.
Chacune avance au même rythme.
Leurs poignets disparaissent dans les chattes de l’autre.
Les cris simultanés de plaisir non feint des sœurettes surprennent la salle.
Elles activent leur main de plus en plus vite dans la chatte de l’autre.
Je vois de la cyprine gicler des deux vulves et venir inonder le tapis persan.
Les cinq hommes sont tous redressés les mains sur les accoudoirs des fauteuils, comme s’ils voulaient être plus prêts des filles.
Le rythme des mains diminue, Boris donne l’ordre à Adonis d’entrée en scène.

• Tu as de quoi te couvrir.

Adonis sort une capote de sa poche.

• De vraie pro. Il s’avance, sa verge recouverte par son pantalon est bandée à l’extrême.
Il arrive près des filles feignant la stupeur de voir ses deux filles se fister.
Les filles retirent, leur main avec le bruit que tu aimes tant.
Elles roulent sur le côté et découvrent l’homme qui les regarde.
Boris a glissé sa main sous ma mini. J’ai, moi aussi trois doigts dans ma chatte.

• Tu mouilles ma salope, je sens que l’on va bien s’amuser.

Je tourne la tête, nos bouches se trouvent.

• Les filles se sont recroquevillées dans les bras l’une de l’autre comme s’ils elles avaient peur.
Adonis arrache son pantalon comme le font les chippendales lors de leur spectacle.
Les filles semblent terrorisées.
Il avance vers elle sa bite gigantesque en avant.
Trente à trente-cinq centimètres, six de diamètre au moins.
Il va défoncer les petites avec son bâton.
J’ai un moment de lucidité en réfléchissant que les mains entières qu’elles se sont fait mettre régulièrement comme elles l’ont fait en début de prestations me rassurent, elles ont des vulves assez souples pour recevoir ce sexe noir sans souffrir.

Il présente le vit aux deux sœurs, Arum semble se sacrifier et accepte, le gourdin dans sa bouche pompant goulûment la verge noire.
Seul le début du gland entre et ses mâchoires distendues doivent montrer au hardeur que pour elle il vaut mieux éviter d’ailler plus loin.
Sa sœur vient l’aider et de chaque côté une fois de plus bien tourné vers les clients, elles le sucent sans essayer de retourner vers le gland.
Arum espiègle les yeux levés vers Adonis et le fixe comme je suis placé, je la vois mettre des petits coups de dent en se déplaçant d’avant en arrière et d’arrière en avant.

Boris prévient Yvan que c’est à lui d’entrées en scènes.
• Il avance, lorsqu’il arrive, Ayu le voit, s’approche à quatre pattes arrache le pantalon du grand blond qui lui est aussi pourvu d’une verge aussi longue que son copain mais beaucoup plus fine.
Directement elle l’avale et le pompe.
La scène de ces deux couples semble faire de l’effet aux turbans, car ils se tortillent dans leurs fauteuils.
Je vois Adonis se retourner comme s’il cherchait quelqu’un ou quelque chose et discrètement place la capote sur son gourdin, bâton, manche de pioche, il est si gros que j’ai du mal à te donner l’adjectif qui correspond à ce que je voie.
Ma peur pour l’intégrité de mes filles est revenue, mais je leur fais confiance.
Arum continue son action sur la verge noire.
• Quand vas-tu me baiser Boris, je vais défaillir d’envies ?
• Laisse-les jouer un peu, c’est la première fois que mes copains baisent des jumelles qui plus est asiatiques et très jolies.
• Viens, on y va.
• Nous arrivons dans la lumière comme des amoureux en balade, à l’opposé des deux couples.
• Nous-nous embrassons comme si nous étions seuls.
Boris commence à me déshabiller comme un couple normal le ferait en vue de faire l’amour dans une forêt se croyant seul.
J’enlève son pantalon comme le ferait une femme amoureuse pressentant qu’elle va se faire baiser à la différence, que les scratche sautent dès que je les sollicite.

Nue tous les deux, comme une fille sage, disons bon chic bon genre, je m’allonge sur l’herbe en tapis persan et immédiatement la verge me pénètre.
Boris a pu entrer d’un coup, car je suis extrêmement mouillé après le doitage qu’il m’a fait hors de la lumière.
• Je te connais, je suis sûr qu’hors du champ de vision des clients ta chatte a déjà expulsé quelques petits décilitres de liquide.
• Tu me connais trop bien, mais il va falloir que je termine notre histoire à bord du bateau, car les autres vont penser que nous nous envoyons encore en l’air.
• Tu as raison, mais ton récit me donne envie de te demander de me pénétrer pour me faire jouir, moi aussi je mouille.
• Je surveille donc du coin de l’œil mes petites garces restées actives.
Elles se sont placées en levrette et les deux mâles les pénètrent ardemment.
Dans le même temps les sœurs s’embrassent.
Ce tableau est excellent.
Un noir, un blanc et deux eurasiennes qui prennent du plaisir ensemble maté par cinq habitants des pays de l’or noir, qui dit que la France est raciste ?
Nous laissons les jumelles profitées de ces bites qui les perforent.
D’où je suis, il m’est impossible de savoir qui d’Adonis ou d’Yvan baisse Arum ou d’Ayu.
La position du missionnaire que je pratique rarement et que tu connais particulièrement à tous de même du charme.
Je sens qu’une petite jouissance monte en moi. Boris le sent et il m’embrasse en y mettant du sentiment.
Nous continuons à jouer, d’un coup Boris se relève comme s’il avait vu quelque chose de terrible.
Adonis et Yvan sont au-dessus de nous menaçant.
Adonis qui a des bras aussi gros que mes cuisses saisies Boris et par une clef de bras et le ceinture pour qu’il reste immobile.
Yvan m’att, me fait mettre à genoux et m’enfourne sa bite dans la bouche.
• Suce salope…

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